L’un des plus grands avantages du commerce électronique est qu’il ne connaît pas de frontières : grâce à l’internet, vous pouvez acheter dans des boutiques situées d’autres pays sans même vous en rendre compte et proposer vos produits à des clients dans d’autres marchés sans restriction aucune. Néanmoins, si vous lancez une boutique en ligne en ciblant une clientèle internationale, vous devez veiller aux traductions du contenu de votre site, sinon vous risquez de donner une mauvaise image et de susciter la méfiance chez vos clients potentiels.
Les bons conseils pour la traduction d’une boutique en ligne
Les consommateurs préfèrent naturellement faire des achats dans des boutiques qui parlent leur langue. En effet, selon les statistiques, plus de 70 % des personnes qui achètent sur Internet, ne le font que dans des boutiques en ligne qui parlent leur langue. Même si le client parle couramment d’autres langues étrangères, ils préfèrent les sites de ventes dans leur langue maternelle. Il convient à cet effet de noter qu’environ 50 % des sites européens sont en mesure de vendre dans une autre langue.
Pourtant, plus de 50 % des consommateurs européens font des achats dans des pays étrangers parce qu’ils y trouvent de meilleures offres. Alors que le marché national est de plus en plus difficile, la traduction de votre boutique en ligne peut vous donner un grand pas d’avance sur vos concurrents. Dans cette optique, il est recommandé de faire appel à une bonne agence de traduction pour optimiser le contenu de son site Internet dans d’autres langues, y compris : fiches produits, blog, FAQ, etc.
Les solutions bon marché peuvent coûter cher !
La plupart des gens qui font leurs achats sur Internet affirment qu’une mauvaise traduction est un obstacle à l’achat en ligne depuis l’étranger. C’est tout à fait logique, puisqu’un contenu mal traduit, ne suscite pas suffisamment de confiance pour acheter. Un contenu mal traduit véhicule une mauvaise image de la boutique, ce qui se traduit par des commentaires négatifs sur Internet. En plus de réduire les ventes, cela peut finalement entraîner un taux élevé d’abandon de paniers, des retours et de plaintes.
Utilisation de la traduction automatique
Bon nombre de sites de vente en ligne proposent une option de traduction automatique et en temps réel de leur contenu, à travers des outils tels que Google Traduction. Toutefois, le résultat n’est pas du toujours satisfaisant. La traduction automatique ne peut être utilisée que comme un outil permettant à un visiteur parlant autre langue de comprendre le contenu de la page qu’il visite, mais en aucun cas elle n’est de qualité suffisante pour générer des ventes en ligne.
Duplication de contenu
Pour éviter d’utiliser la traduction automatique, certains sites de commerce électronique se contentent de copier-coller des textes provenant de catalogues de fabricants pour les fiches produits pour leurs boutiques en ligne. D’autres copient même des textes de boutiques en ligne concurrentes. Il s’agit d’une grave erreur, car le moteur de recherche Google pénalise le contenu dupliqué et peut également porter atteinte aux droits de propriété intellectuelle.
Des services de traduction douteux
Une autre erreur courante consiste à faire appel à des sociétés de traduction en ligne qui proposent des tarifs inférieurs à ceux d’une agence de traduction professionnelle. En général, ces traductions sont effectuées par des traducteurs peu expérimentés et que ne maîtrisent pas suffisamment les deux langues. Souvent, on utilise même des traducteurs automatiques, en prétendant le contraire. Bien sûr, le résultat ne sera jamais satisfaisant !
Conclusion :
Les traductions de boutiques en ligne qui ne répondent pas aux normes de qualité minimales requises, peuvent entraîner des problèmes de classement dans les moteurs de recherche, car Google pénalise les textes, mal écrits ou contenant des erreurs. De plus, les descriptions de produits ont une valeur contractuelle, ce qui fait que toute erreur dans le contenu peut finir par causer des conflits avec des clients.